Letra de Polyzani
On voudrait que s'arrête le grondement
Des tambours de la guerre
Son cortège de misère

On voudrait qu'elle explose
La rancœur en travers du cœur
On voudrait qu'elle se casse
La chaîne de l'horreur

On s'est habitués à attendre, attendre
A tout prendre, à plus rien comprendre
On s'est habitués à stresser
Encaisser à se taire
A s'abaisser

Mais je sais que le fond de l'air est rouge
Et que ça bouge

Dans le tumulte et le chahut
Je crois entendre
Comme des voix, venues des ventres

Je les entends de loin
Mais je les entends bien
Des voix dans la tempête
Des voix de femmes en colère, solidaires
Et belles comme la révolte, n'est-ce-pas Léo !

Elles appellent à se mettre en marche,
Et il est clair qu'il est grand temps de faire face
De dire STOP, on change tout
On veut vivre debout, et c'est ...tout !
C'est TOUT !!!

Et même si je suis hallucinée
Affolée, atterrée, déprimée
Je veux rester lucide, attentive
Sur le qui-vive, instinctive....

Je les entends de loin
Mais je les entends bien
Des voix dans la tempête,
Elles n'en font qu'à leur tête,

Des voix de femmes en colère
Solidaires
Et belles, belles, belles
Merci Clo-Clo !!!

Elles appellent à se mettre en marche
Il est clair que c'est maintenant que ça se passe
Si on dit STOP, on change tout
On veut vivre debout, et c'est ...tout !
C'est TOUT !!!

(Merci à Béatrice Piekosz pour cettes paroles)