Mothas la Mascarade

Générique
Faudrait que j’vous raconte ce qui se passe vraiment dans nos têtes Pas tellement plus heureux que maintenant des gens connaissent Ils observent tout t’façon mais s’en branlent des enfants d’ici N’ont jamais eu que le regard condescendant Si t’arrives à respirer c’est déjà pas mal Y’en a combien le 10 du mois qui arrivent plus à exister Bientôt on aura 30 ans, j’veux pas qu’on soit trempés Ça me suffit pas de me dire qu’on aura tenté Pour tous ceux qui dorment qui rêvent dans le noir Moi aussi je veux éclairer ma ville, j’suis comme Flynt Même si on est plus enfants, moi j’nous vois pas tous en forme Déjà que c’était dur petit, l’impression d’être harcelé encore On a prié en attendant qu’un truc se manifeste Habitué à regarder passer le temps comme le sud de la ligne 7 Moi j’fais du son, quand je sens pousser du spleen j’ai de la chance J’suis pas dans une cellule sombre face à mes cellules grises On a grandi entre les claques et les bagnoles Les belles paroles et les à-coups On a fait avec on a toujours partagé le beurre Même quand on n’en connaissait pas le goût On a grandi entre les claques et les bagnoles Les belles paroles et les à-coups On a fait avec on a toujours partagé le beurre Même quand on n’en connaissait pas le goût, qu’on n’en voyait pas le bout Letras de cancionesPetit, ma mère me pensait fou mes profs me disaient foutu La vie ça a un coût je l’ai ressenti sous toutes les coutures Je ne pense plus qu’on écrira l’histoire On est des gens simples, on est comme une station de la ligne 4 La vie s’est fermée et le ciel s’est terni quand la douleur s’éternise et que les lumières s’éteignent J’étais pas d’accord, je la voyais pleurer devant la porte en me répétant « qui croire c’est permis » Je connais les soirées qui finissent jamais, ou qui finissent mal Á ne pas rentrer, priant que la vie te ramène Les viscères qui tirent, le cœur recousu Quand les brides d’air et les mauvaises pensées se bousculent Frérot je sais qu’ils nous méprisent, ils savent pas ce qu’on avait pu penser d’eux Ils étaient bêtes et débiles quand on leur faisait croire qu’il nous restait de l’espoir dans le blanc des yeux On a grandi entre les claques et les bagnoles Les belles paroles et les à-coups On a fait avec on a toujours partagé le beurre Même quand on n’en connaissait pas le goût On a grandi entre les claques et les bagnoles Les belles paroles et les à-coups On a fait avec on a toujours partagé le beurre Même quand on n’en connaissait pas le goût, qu’on n’en voyait pas le bout Quand je suis à court d’idée je me dis que la pensée c’est comme l’enfance On n’en voudrait pas mais impossible de l’oublier La nuit je réentends les pleurs et les cris J’ai toujours appris à leur faire croire même quand la douleur est électrique Les discussions les pardons qui ne s’arrêtent qu’à l’aube Et si jamais les rêves en cargo quand les darons disparaissent Les souvenirs ne sont pas mal venus ni périssables L’important c’est pas la chute, c’est ce qu’on en aura retenu On a grandi entre les claques et les bagnoles Les belles paroles et les à-coups On a fait avec on a toujours partagé le beurre Même quand on n’en connaissait pas le goût On a grandi entre les claques et les bagnoles Les belles paroles et les à-coups On a fait avec on a toujours partagé le beurre Même quand on n’en connaissait pas le goût, qu’on n’en voyait pas le bout On a grandi entre les claques et les bagnoles Les belles paroles et les à-coups On a fait avec on a toujours partagé le beurre Même quand on n’en connaissait pas le goût On a grandi entre les claques et les bagnoles Les belles paroles et les à-coups On a fait avec on a toujours partagé le beurre Même quand on n’en connaissait pas le goût, qu’on n’en voyait pas le bout On a grandi entre les claques et les bagnoles Les belles paroles et les à-coups From Letras Mania