Hugues Aufray

Près Du Coeur Les Blessures
Un jour ou l'autre sur sa route Alors qu'on s'est cru le plus fort L'angoisse vient et puis le doute On est debout parmi les morts Deux fleurs fanées sur une tombe On se souvient que l'on aimait Près du cœur, les blessures Ne se ferment jamais Là-bas, dans son pays de neige Les toits des maisons sont penchés Sans elle, aujourd'hui, que serais-je L'arbre vivant déraciné Vierge au visage de Madone Des yeux de fille nous dénonçaient Près du cœur, les blessures Ne se ferment jamais On dit chez moi que les nomades Sur les chemins, s'en vont par deux Si ma raison battait chamade Que les prisons brûlent mes yeux Aurais-je su garder silence Pour sauver le frère que j'aimais Près du cœur, les blessures Ne se ferment jamais (Merci à dandan pour cettes paroles) From Letras Mania