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il frappe la balle contre les murs oui, tellement sa galere de sa vie s'en bat les glaoui, en echec scolaire il seche les cours, traine devant l'ecole achete des nette - ca pour les grands y fait l'guet, le posteur, sa famille c'est le gang il sait pas comment faire l'oseille, il commence donc par arracher avec ses deux potes il portait scooters attaches petit microbe, pret a mourir pour le quartier en mode perdu, le ciel n'est toujours pas degage gav repetitif, vol violence sans recidive une mere seule et depressive tu commence par fumer du fife, de lui, son pere en a rien a pifrer enfant divorce car c'est d'alcool qu'ils s'enivrait des billets d'avion pour l'afrique, sa coute bien trop cher zinc pour les vacances tu pars chez ta tante dans le 9.5. sa tombe vraiment bien le juge des enfants l'interdit de son 9.3. c'etait sa ou les foyers, c'etait sa ou le placard, mais rien a foutre il a 16 ans c'est la zermi s'entraine a faire des leves d'becannes chourees dans la teci il a rien a faire, il a rien a perdre, il a tout a prendre mais faut lui apprendre, comment faire sans repere il prend son pied dans la violence ambiance guerre de tess' ouais, toujours auch' pour une descente sauf qu'un jour le mec d'une bande rivale tombe dans le coma Letras de cancionesla nuque tranchee par l'epee d'amoclesse du magi'gi'stra! centre et des jeunes detenus, te voila en taule personne pour rattraper l'autre, la promenade c'est la faune embrouille avec 2, 3 mecs, un frelo qui separe une grande amitie vient de naitre mais, tu n'le sais pas il t'apprends que l'oseille c'est mieux que la boisson et la fumette il t'as dit 'si t'es chaud pour le charbon suis - moi direct', il t'as dit 't'inquiete quand tu sors, viens sa va brasser, on aura de l'argent, des voitures, et des tass - pe' tu reve dans ta cellule, t'attends ton jour de sortie tu pense a ta mere epuisee par le taff et la zonpri 'la - bas tu fais la priere?', 'ouais', 'tu vas chez l'aumonier?', 'ouais' 'maintenant que tu te prosterne', 'ouais', 'et que t'as la foie tu peux nier(?)', t'es jeune, t'es vif, tu ressort avec la peche une envie d'croquer la vie wesh, normal c'est la desh personne l'empeche de faire la fresh que dieu le protege passe de la deprime a la sim sans etre en panne seche c'est grave comme il kiff l'oseille, il n'aime pas dire quand y a rien qui rentre braquage a l'aide de scooters, a moteurs puissant tu prends, prends, achete ta premiere caisse rsv tu choure un cuir, des jantes, et une aile dans un p, en plus y a l'boiter, la boite vocale en hass de meuf son passe - temps c'est d'ler - vo et d'percer les coffres sa la meule sa parle de rumeur, de dettes, de mecs qui crevent de jalousie passe - leur mon 06 1143 bim bim sa pete les plombs, sa se mefie de tout l'monde en coup d'crosse, c'est dans l'cul d'l'amitie qu'il enfonce tout l'gode un sale gosse qu'a grandi parmi les chacals ton meilleur pote de baise t'envoies en couille dans une embuscade poto l'a dit, les charognards veulent que ton gent - ar la daronne commence a vieillir, et voila qu'elle tombe malade merde, c'est donc repartit de plus belle cousin tous ses casses tu peux les lire dans les faits divers du parisien son coeur perd de sa lumiere originale caillera, gangster, pret a poursuivre l'euro jusqu'en enfer cage - bra, terrain d'crack, bedo, pas l'temps de dire 'allo' pour un coin d'rue il sa defouraille comme parksdal et marlot la rime tourne comme un gros joint dans le hall y caille dehors, tout l'monde a l'cafard, et les esprits sont chauds s'matin la j'etais onctieux, bizarre, on perd pas ses couilles mon vieux, mais j'la sentait bizarre la recette d'une putain d'somme a 5 chiffres a s'qu'il parait meme accroche aux monte au crochets, et les motards apparaissent on suis une course poursuite sur les trottoirs de paris, direction l'periph' les tdm et les fathers nous en veulent terrible vide le coffre c'est le clan des amas d'guerit la tete dans les nuages, il est difficile d'atterir rei sa pete les retros, on grille les feux on force les rage - ba on fuck la lice - po car leur coup d'parchoc etait fatal encore un gosse qui meurt, une famille qui pleure, un quartier en deuil, et tu crains l'emeute chronique d'un enfant perdu, oui oui, si si, toujours pour ceux qui savent From Letras Mania