Kebous

Les Corps Impatients
Puisque plus rien n'a d'importanceÀ longue ou brève déchéanceParce que j'ai dû perdre le sensDe toute forme d'insoucianceParce que plus rien n'a d'évidenceQue tout est tombé sous le sensJ'ai délégué les espérances au cinéma des apparencesDire que j'étais cet ingénuPauvre crétin tombé des nuesMon corps rongé par l'impatienceDéjà foutu pour la scienceDire que j'étais cet ingénuFace au paradoxe perduIncidemment je rêve encore à la circulation des corpsIncidemment je rêve encore à la circulation des corpsChez les marchands de références des corps dénudés de conscienceDes corps qui dansent d'impatienceEt se disloquent et se distancentPour différer l'indifférence de nos corps nus sans consistanceQui se mélangent en substance jusqu'à l'extase, jusqu'à l'absenceDire que j'étais cet ingénuPauvre crétin tombé des nuesMon corps rongé par l'impatienceLetras de cancionesDéjà foutu pour la scienceDire que j'étais cet ingénuFace au paradoxe perduIncidemment je rêve encore à la circulation des corpsIncidemment je rêve encore à la circulation des corpsJ'habite encore dans l'existence, tiens dans ses propres dépendancesUn corps qui cherche une contenance et qui survit par impatiencePuisque plus rien n'a d'importanceÀ longue ou brève déchéanceParce que j'ai dû perdre le sensDe toute forme d'insoucianceDire que j'étais cet ingénuPauvre crétin tombé des nuesMon corps rongé par l'impatienceDéjà foutu pour la scienceDire que j'étais cet ingénuFace au paradoxe perduIncidemment je rêve encore à la circulation des corpsIncidemment je rêve encore à la circulation des corpsIncidemment je rêve encore à la circulation des corpsIncidemment je rêve encore à la circulation des corpsIncidemment je rêve encore à la circulation des corps From Letras Mania